"Du Coq à l’Âne" : un festival éclectique et sympathique

Le festival "du Coq à l’Âne" revient les 5 et 6 juillet prochains. Forte du succès de la scène ouverte de l’année précédente, celle-ci sera à nouveau ouverte le vendredi 5 de 20 heures à 21 h 30. Tous les âges et toutes les disciplines sont les bienvenues. L’espace scénique et le matériel seront assurés par le comité. 10 minutes de présentation sont accordées à chaque intervenant ; ce peut être un chant, un morceau seul ou à plusieurs, une scène de théâtre, de la magie, des poèmes, etc. Afin d’assurer de bonnes conditions à tous, huit participations seront acceptées. D’où l’intérêt de s’inscrire rapidement par mail : milliardsah@hotmail.com ou par téléphone : 06 25 91 03 64.

Au programme de ces deux journées : le vendredi 5 juillet de 18 h 30 à 19 h 30 ; L’Erable de la Fontaine (Cie La Raison de l’Ouir), de 20 heures à 21 h 30 : scène ouverte, de 22 heures à 23 h 30 ; concert avec le groupe Saigon. Le samedi 6 juillet de 15 h 30 à 16 h 30 : grande parade ; enfants, tracteur, remorque, mobylettes anciennes (si beau temps), de 17 heures à 17 h 30 : spectacle du clown BEN, de 18 heures à 18 h 45 : musique hispanique Las Aldeanas, de 19 heures à 19 h 30 : groupe rock Wayland, de 19 h 30 à 20 h 30 : pause restauration musicale, de 20 h 30 à 22 heures : Théâtre "Formica" Cie Atelier théâtre du Grand Rond et de 22 heures à 24 heures : mosaïque musicale.

Le groupe Las Aldeanas, "les filles du village" en catalan, interprétera des chants populaires ibériques traditionnels et également des chants de la guerre civique espagnole.

Quant au clown Ben, il s’agit de Ben Zuddhist qui a participé à des festivals dans le monde entier (USA, Europe, Asie, Nouvelle-Zélande, etc.). Son spectacle "Versilli le cirque d’animaux le plus petit du monde" est un spectacle tout public, varié, absurde et réjouissant mixant musique, prestidigitation, cirque, comédie, et la participation du public.

Le festival du Coq à l’Âne représente un moment de partage, de bonne humeur dans l’univers bucolique d’Escoulis, petit village de 78 habitants, situé à 8 km de Salies-du-Salat, un endroit sympathique à découvrir dans le Comminges profond ! Un festival concocté par l’équipe autour de Christian Besson, Jean-Claude Decocq, Christiane Casteres et bien d’autres.

pour le festival , une guinguette est prévue sur site avec possibilité de restauration. 

FORMICA , une tragi-comédie en 3 actes 

C’est dimanche, le jour traditionnel du repas en famille. Tout le monde est réuni autour de la table et du poulet dominical. Alors que tout est prévu pour faire de ce rendez-vous un moment de fête et de partage, surgit tout à coup la question fatidique : De quoi pourrait-on parler ?

Les protagonistes luttent inlassablement contre leur funeste et silencieux destin, tandis qu'un chœur grec relate cette épopée épique.

Ô rage! Ô désespoir ! Ô dimanche maudit !

Où sont les mots qui hier leur enflammaient le cœur ?

Avec : Christine Abizanda, Louise Colle, Jean-Claude Decocq, Marion Evain, Louis Muratet, Philippe Ondet, Sophie Pendaries, Agnès Sefrioui, Roberto Steck-Ibarra, Christelle Superbie, Paul Vinaches, Richard Yupi

Mise en scène : Hélène Dedryvère

La troupe est issue de l’atelier théâtre du Grand Rond à Toulouse.

FESTIVAL DU COQ à l’ANE

vendredi 5 juillet à 19h00 place de la mairie ESCOULIS 31260

L’érable de la fontaine

L’érable de la fontaine donne à voir et à entendre certaines des fables de La Fontaine, dans une réécriture contemporaine et une mise en scène qui joue, et se joue, de la forme classique.

En faisant dialoguer les personnages, en y mêlant musique et chant, tout en respectant le nombre de syllabes et les rimes des fables originales, le format proposé s’accorde au temps présent pour révéler l’intemporalité des conduites humaines. La cigale devient régale et entend convaincre la fourmi des plaisirs passagers, le corbeau prend l’allure d’un corniaud, banquier avide mais qui ne pourra résister à la flatterie du regard, le lièvre devient mièvre et se perd dans son univers virtuel.

Chaque fable incarne un univers singulier qui emprunte successivement des codes issus du théâtre baroque, de la téléréalité ou de la science-fiction.

La compagnie La raison du J’Ouir est née de la rencontre entre Louise Colle, Marion Evain, Paul Vinaches et Richard Yupi, tous issus du théâtre du Grand Rond à Toulouse.