La 5e vague épidémique, avec l’émergence du variant Omicron au mois de décembre, a freiné l’élan d’optimisme d’un début de sortie de crise sanitaire à l’orée de cette année 2022. Avec pour conséquence directe des annulations qui se répètent dans tous les secteurs d’activités. Un air de déjà-vu malheureusement qui n’épargne pas notre discipline. Première victime de la saison, le Congrès de la FFPJP, prévu en présentiel les 7 et 8 janvier derniers à Belfort, annulé 48 heures avant par un décret préfectoral.
Ce Congrès belfortain était l’occasion pour Michel Le Bot, en mode présidentielle depuis sa prise de fonction en mars dernier, de présenter à la classe dirigeante, du haut de la tribune officielle, les grandes orientations fédérales pour les années à venir de son mandat. Malheureusement, la Covid-19 a encore joué les trublions, ce Congrès important dans son contenu, avec une batterie de réformes, se tiendra finalement en visioconférence le 26 février prochain.
Si la Grande Finale PPF à Vaujany, et les 2 Nationaux de Martigues (provençal et pétanque) ont lancé sur une bonne notre la saison sportive 2022, le calendrier de début de saison a encore été amputé de plusieurs épreuves labellisées, du côté de Grenoble, La Roche-sur-Yon, Rouen et, dernière en date, de Cannes qui a renoncé à organiser son Supranational qui devait se dérouler les 26 et 27 mars.
Cholet (19-20 février) et Sète (5-6 mars) seront les deux prochains grands rendez-vous de cette saison hivernale, en attendant la première compétition fédérale à savoir la phase nationale de la Coupe de France des Clubs, les 10-11-12 mars à Rennes.
. C.E.P.
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