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"Le 22 janvier 1963, le président français Charles de Gaulle et le chancelier allemand Konrad Adenauer signèrent le traité de l’Élysée qui ouvrait une nouvelle ère dans les relations franco-allemandes [...]  par le biais de la culture et des échanges de jeunes."  (source france-allemagne.fr)

 

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http://www.france-allemagne.fr/-France-nouvelle-version-.html >link

Article publié lors de la 7 ème journée Franco-Allemande:
"Depuis 47 ans, la France et l’Allemagne entretiennent une relation unique en son genre. Les deux pays ont su transformer leurs affrontements passés en moteur de la paix sur le continent européen. Ils entretiennent des échanges d’ampleur inédite. Leur relation tranche par sa diversité et son ancrage dans la vie quotidienne des peuples.
Le général de Gaulle et le chancelier Adenauer lors de la signature du traité de l'Elysée (Paris, 22 janvier 1963) - Photo : © MAEE Intervention de Jacques Chirac et Gerhard Schröder lors du Parlement franco-allemand de jeunes qui eu lieu du 18 au 23 janvier 2003 à Berlin, dans le cadre du 40ème anniversaire (...) (c) dpa / picture alliance 
Plus encore que d’une alliance politique ou d’un partenariat économique, en effet, c’est d’une amitié qu’il s’agit. Elle a été souhaitée, il y a 47 ans, par le président français Charles de Gaulle et par le chancelier allemand Konrad Adenauer. Tous deux avaient compris, dix-huit ans après la fin de la Seconde guerre mondiale, que les accords politiques ou commerciaux étaient insuffisants à réconcilier durablement et profondément leurs peuples. Une amitié se nourrit de contacts et de rencontres : telle est la philosophie qui les inspira. Le 22 janvier 1963, ils signèrent le traité de l’Élysée qui ouvrait une nouvelle ère dans les relations franco-allemandes. Il portait l’ambition d’ancrer la réconciliation franco-allemande au sein-même de la société, en particulier par le biais de la culture et des échanges de jeunes.

C’est dans cet esprit que la France et l’Allemagne ont célèbré, vendredi 22 janvier, la 7ème "Journée franco-allemande". A l’heure où les générations se succèdent, elle a pour but de faire connaître le pays voisin et ses richesses. La date, symbolique, a été choisie en 2003 lors du 40ème anniversaire du traité de l’Élysée. "Nous souhaitons qu’à l’avenir, cette journée soit consacrée, dans toutes les institutions de nos systèmes éducatifs, à une présentation de nos relations bilatérales, à la promotion de la langue du pays partenaire, et à une action d’information sur les programmes d’échanges et de rencontres ainsi que les possibilités d’études et d’emploi dans le pays partenaire", affirmaient le président Jacques Chirac et le chancelier Gerhard Schröder dans une déclaration commune.

Depuis 2004, la Journée franco-allemande donne lieu à une mobilisation tous azimuts, souvent relayée par les médias. Elle s’adresse notamment aux élèves, du primaire à la terminale. Les établissements scolaires ont en grande partie les mains libres pour son organisation. Leur imagination est fertile : commentaire de document en classe, menu allemand à la cantine, exposition dans les murs du lycée, dialogue avec des intervenants extérieurs… voire plus original. Chaque année, un thème est choisi : la promotion de la langue du partenaire (2004), l’allemand et le français, passeports pour des métiers et des carrières en Europe (2005, 2006), „Frankreich neu entdecken – l’Allemagne un pays à redécouvrir“ (2007, 2008), "Mettez l’allemand dans votre jeu ! - Bringt Französisch ins Spiel !" (2009, 2010)."
Philippsthal 2009 0080-2
Le jumelage franco-allemand: une réalité qui dure depuis 36 ans entre Salies du Salat et Philippsthal.

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Quelques articles de moi....
Publié le 07/05/2009 04:39 | Z.G.
Salies-du-Salat. Jumelage avec Philippsthal : 35 ans d'amitié et une fête à venir
Gutrun Sachse, Hartwig Klotzbach et Klaus Dieter Radick invitent les Salisiens aux festivités du jumelage. Photo DDM
Gutrun Sachse, Hartwig Klotzbach et Klaus Dieter Radick invitent les Salisiens aux festivités du jumelage. Photo DDM
Gutrun Sachse, Hartwig Klotzbach et Klaus Dieter Radick invitent les Salisiens aux festivités du jumelage. Photo DDM Gutrun Sachse, Hartwig Klotzbach et Klaus Dieter Radick invitent les Salisiens aux festivités du jumelage. Photo DDM

Fritz Schäffer et Hartwig Klotzbach, les anciens bourgmestres de Philippsthal, et Ralf Hort, le premier magistrat de la ville jumelle, sont d'accord : il faut que le jumelage entre Salies-du- Salat et la bourgade de la Hesse perdure. C'est pour cela, qu'avec l'aide de la famille Sachse et de Klaus-Dieter Radick, ils s'activent à la préparation du trente-cinquième anniversaire des relations entre les deux villes.

Les cérémonies de cette manifestation se dérouleront à Philippsthal durant la dernière semaine du mois de juin 2009.

Si le programme n'est pas encore entièrement arrêté, il commence à prendre tournure. Ce sera la première fois qu'un groupe de Salisiens assistera à la kermesse de Philippsthal qui durera cinq jours avec ambiance assurée et bière à volonté. Bien sûr des visites seront organisées à Asfeld, une merveille de vieille ville, à Erfurt et peut-être Iéna. Il sera également possible de descendre dans une mine de potasse dans laquelle les nazis avaient entassé leurs trésors. Ceux qui n'ont pas connu le mur entre les deux Allemagne pourront s'en faire une idée au «Point Alpha» où il en reste un morceau dans une forêt avec les véhicules et les armes utilisés par les deux camps.

voyage en bus

Le voyage en bus aura lieu du mercredi 26 juin au jeudi 2 juillet avec halte à Mulhouse et visite de la Forêt Noire et de la vallée du Rhin lors des trajets aller et retour. Le prix de 550€ est basé sur la participation d'une quarantaine de personnes. Il comprend la pension complète hors boissons et les visites.

Pour tous renseignements et inscriptions, s'adresser à Jacques Hennebois, téléphone 05.61.90.65.57 ou 06.10.44.46.31 ainsi qu'à l'office de tourisme, téléphone 05.61.90.53.93.

 

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Publié le 15/10/2009 03:49 | LaDepeche.fr
Salies-du-Salat. Jumelage : le maire de Philippsthal en visite dans la cité thermale
Le Salisien Jacques Hennebois et Ralf Orth, lors de la réception à Philippsthal. Photo DDM, archives, Z.G.
Le Salisien Jacques Hennebois et Ralf Orth, lors de la réception à Philippsthal. Photo DDM, archives, Z.G.
Le Salisien Jacques Hennebois et Ralf Orth, lors de la réception à Philippsthal. Photo DDM, archives, Z.G. Le Salisien Jacques Hennebois et Ralf Orth, lors de la réception à Philippsthal. Photo DDM, archives, Z.G.

Le 9 novembre 1989 le mur de Berlin, « le mur de la honte », s'est définitivement écroulé. Vingt ans déjà et pour la petite commune de Philippsthal, ce jour-là, a vu s'ouvrir la frontière qui partageait le village depuis 30 ans.

Salies-du-Salat, jumelé avec cette commune depuis 35 ans, et les Salisiens, ont donc connu le temps de la frontière et celui de la chute du mur. En juin dernier une délégation de Salies, menée par le président du jumelage Jacques Hennebois, a été reçue par la municipalité allemande. Aujourd'hui, c'est le nouveau maire, Ralf Orth, et son épouse Petra qui rendent une visite amicale aux Salisiens, profitant de la venue de compatriotes, Gunther et Gudrun Sachse, Manois depuis quelques années.

Un repas amical ouvert à tous réunira élus et salisiens, le samedi 17 octobre à midi à l'hôtel du Centre. Inscriptions : Tél. 05 61 90 60 01.

 

 

 

 

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Publié sur le blog de mon site de musique, car l'intégralité n'avait pas été prise sur le journal:
http://www.myspace.com/giollia/blog/517755122 link
le 9 novembre 2009
20 Jahre seit dem Sturz der Wand der Schande: von Salies ( 31 ) - Philippsthal ( Hesse)
 
20 ans depuis la chute du mur de la Honte....: Salies du Salat (31) - Philippsthal (Hesse)

35 ans de jumelage avec une ville coupée par le mur de la Honte:

Alors que l'Europe, et au delà, commémore les 20 ans de la chute du mur de Berlin, du mur de la honte, la commune de Salies fêtait, elle, en juin dernier, les 35 ans de jumelage avec Philippsthal.
Cette commune de la Hesse avait une caractéristique dramatique: celle de se trouver coupée en deux par le tristement célèbre mur.
Le 14 juillet 1974, Félix Dessens et Jakob Prior, les deux maires français et allemands signent le jumelage des deux communes. Comme le précisera en juin dernier le maire allemand, Ralf Orth: "cela a été le premier jumelage avec la France de l'après-guerre, avec toute la symbolique, la puissance, la volonté de renouer des relations cordiales, amicales que cela signifiait".
Pour Jacques Hennebois, président du comité de jumelage, les souvenirs de cette époque sont toujours présents:
"le mur était déjà en place la première fois ou je me suis rendu à Philipsthal. Il y avait surtout un grillage le long de la Werra, la rivière qui séparait Philipsthal de la commune de Vacha. Cul de sac au pont de Vacha: c'était la frontière géographique de la Prusse qui passait au milieu de l'imprimerie Hochfeld. La partie droite de la maison était en Hesse (ouest), la partie gauche en Thüringe (est). Interdiction aux habitants de se rendre dans cette partie (fenêtres murées, traces de balles). Les salisiens et autres touristes montaient sur la colline Sichenberg qui surplombait Vacha. Et delà ils pouvaient observer à la jumelle les rues de la cité dans lesquelles ne circulaient que des véhicules militaires. Jeunes allemands et français avaient l'habitude de pique-niquer sur le promontoire. Un soir ils ont entendu un bruit de moteur assourdissant et ils ont vu derrière la haie des chars qui venaient les observer (cela se situait en 1974 ou 76)."

La vie avant la chute du mur, raconté par Jacques Hennebois, président du Comité de jumelage:
"la construction du mur a évolué, avec l'instauration d'un "noman's land", d'un grillage plat ou il était impossible de s'accrocher, des plaques de béton. Plus tard se sera une double enceinte avec fossé, miradors, éclairage la nuit, chiens et armes automatiques.
Aucun contact entre les habitants de Philippsthal et de Vacha n'était possible. Cette ville était interdite à ceux de l'ouest. Les allemands de l'ouest pouvaient se rendre à l'est après de nombreuses démarches, mais ils devaient déclarer leur itinéraire exact. Ils devaient acheter des marks "est" au change de 1 pour 1 alors que le mark "est" n'avait aucune valeur. Par contre au retour aucun change n'était possible.
Pour ceux de l'est qui voulaient aller à l'ouest, un seul par famille était autorisé et cette dernière était prise en otage pour être sûr du retour du voyageur. Seuls les retraités pouvaient rester à l'ouest: ainsi il n'y avait pas de retraite à payer.
Lors d'un voyage en septembre 1989, nous étions quelques-uns chez une des personnes du Comité. Nous regardions Vacha avec des jumelles et j'ai eu la stupéfaction de voir que l'on construisait un 3ème mur entre la Werra et Vacha. Cela a étonné les allemands présents."

La journée du 9 novembre 1989 et l'après-mur, racontée par Jacques Hennebois, président du Comité de jumelage:
"dans la journée du 9 novembre 1989, Klaus-Dieter Radick, secrétaire de mairie et chef local de la Croix Rouge, m'a téléphoné et m'a annoncé que le mur allait tomber dans la nuit. Je lui ai dit que je n'en croyais rien mais il m'a dit qu'ils avaient l'ordre de préparer 700 litres de café et autant de soupe. Il m'a demandé de regarder la télé et c'est ce que j'ai fait toute la nuit. J'ai vu la destruction du mur sur le pont de Vacha et les accolades entre les gens."
Après l'ouverture, Philippsthal s'est jumelée avec Vacha et Dorndorf pour aider les deux villages. Les maires sont venus à Salies en 1990 et ont pleuré de voir notre ville. Ils sont revenus plusieurs fois car ils avaient été bien reçus.
Au début, cela était l'enthousiasme à l'ouest, mais il y a eu vite un désenchantement. Les "ostsie" (ceux de l'est) n'avaient pas l'habitude de travailler comme ceux de l'ouest. Lorsqu'ils étaient à l'est, ils étaient souvent à trois sur un poste. Même s'ils ne gagnaient pas beaucoup, ils avaient des avantages sociaux qu'ils n'ont pas retrouvé à l'ouest: cantine, santé, habitation, sport…. Ils voulaient gagner autant que ceux de l'ouest mais n'avaient aucune qualification, ce qui a entrainé des conflits et ensuite du chômage.
La reconstruction de l'est a coûté très cher et les impôts ont sérieusement augmenté, d'où une certaine rancœur de la part des allemands de l'ouest.
Aujourd'hui, par exemple, à Vacha, il y a encore des maisons en ruines. Elles appartiennent à des familles expatriées aux USA qui ne veulent pas engager des travaux."
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Publié le 12/11/2009 15:20 | Z.G.
Salies-du-Salat. 35 ans de jumelage avec une ville coupée par le mur de la honte

Alors que l'Europe, et au delà, commémore les 20 ans de la chute du mur de Berlin, la commune de Salies fêtait, elle, en juin dernier, les 35 ans de jumelage avec Philippsthal. Cette commune de la Hesse avait une caractéristique dramatique : celle de se trouver coupée en deux par le tristement célèbre mur.

Le 14 juillet 1974, Félix Dessens et Jakob Prior, les deux maires français et allemands signaient le jumelage des deux communes. Comme le précisait en juin dernier le maire allemand, Ralf Orth : « Cela a été le premier jumelage avec la France de l'après-guerre, avec toute la symbolique, la puissance, la volonté de renouer des relations cordiales, amicales que cela signifiait ».

Pour Jacques Hennebois, président du comité de jumelage, les souvenirs de cette époque sont toujours présents : « Le mur était déjà en place la première fois ou je me suis rendu à Phillipsthall. Il y avait surtout un grillage le long de la Werra, la rivière qui séparait Phillipsthall de la commune de Vacha. Cul-de-sac au pont de Vacha : c'était la frontière géographique de la Prusse qui passait au milieu de l'imprimerie Hochfeld. La partie droite de la maison était en Hesse (ouest), la partie gauche en Thüringe (est). Interdiction aux habitants de se rendre dans cette partie où les fenêtres étaient murées et où l'on pouvait voir des traces de balles. Les Salisiens et autres touristes montaient sur la colline Sichenberg qui surplombait Vacha. Et delà ils pouvaient observer à la jumelle les rues de la cité dans lesquelles ne circulaient que des véhicules militaires. Jeunes allemands et français avaient l'habitude de pique-niquer sur le promontoire. Un soir, ils ont entendu un bruit de moteur assourdissant et ils ont vu derrière la haie des chars qui venaient les observer. Pour ceux de l'est qui voulaient aller à l'ouest, un seul par famille était autorisé et cette dernière était prise en otage pour être sûr du retour du voyageur. »


Salies-du-Salat. Le président du comité de jumelage se souvient de ce 9 novembre 1989

La journée du 9 novembre 1989 et l'après-mur, raconté par Jacques Hennebois, Salisien et président du comité de jumelage: «Dans la journée du 9 novembre 1989, Klaus-Dieter Radick, secrétaire de mairie et chef local de la Croix Rouge, m'a téléphoné et m'a annoncé que le mur allait tomber dans la nuit. Je lui ai dit que je n'en croyais rien mais il m'a dit qu'ils avaient l'ordre de préparer 700 litres de café et autant de soupe. Il m'a demandé de regarder la télé et c'est ce que j'ai fait toute la nuit. J'ai vu la destruction du mur sur le pont de Vacha et les accolades entre les gens. Après l'ouverture, Philippsthal s'est jumelée avec Vacha et Dorndorf pour aider les deux villages. Les maires sont venus à Salies en 1990 et ont pleuré de voir notre ville. Au début, cela était l'enthousiasme , mais il y a eu vite un désenchantement. La reconstruction de l'est a coûté très cher et les impôts ont sérieusement augmenté. Aujourd'hui, par exemple, à Vacha, il y a encore des maisons en ruines. Elles appartiennent à des familles expatriées aux USA qui ne veulent pas engager des travaux.»

 

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 lundi 4 octobre 2010

 

36 ans de jumelage entre allemands et français: l'aventure a commencé en 74, alors que le Mur de la Honte partageait l'Allemagne en deux et que la patite commune de Philippsthal faisait elle aussi les frais de ce partage. Philippsthal que les salisiens ont découvert traversée par le Mur, dont ils ont suivi en 89 la réunification et avec qui depuis 21 ans, Est et Ouest réunis, ils continuent à partager et découvrir leur culture.
Cette année ce sont une vingtaine d'allemands qui du 9 au 15 octobre vont venir ou revenir dans la cité thermale et le Comminges.

Philippsthal 2009 0060-4
Pour cela le comité de jumelage, avec à sa tête Jacques Hennebois, et la municipalité de Salies ont concocté un programme ouvert à tous les sympathisants.
La délégation allemande, dont le maire Ralf Orth, arrivera samedi 9 en fin d'après-midi sur la place Philippsthal. Le Comité espère qu'un grand nombre de salisiens seront au rendez-vous afin de les accueillir chaleureusement.
Des repas et sorties sont au programme de cette semaine et ceux qui veulent y participer doivent se faire connaitre auprès de l'Office de Tourisme (05.61.90.53.93.). Quelques moments forts: le repas d'arrivée à l'Hôtellerie du Centre; le dimanche le repas mounjetado à Martres suivi d'une découverte du golf salisien et le lundi la municipalité recevra officiellement la délégation au casino à partir de 19h30.
Excursions prévues: mardi 12, le parc de la préhistoire à Tarascon et au retour un repas de pays chez Kiki à Saint-Martory. Mercredi 13, direction l'Espagne via Saint-Bertrand de Comminges et Valacabrère avec un repas à Les et au retour un repas au Park Avenue, chez Dominique.
Le jeudi sera consacré à une visite guidée de Toulouse et entre autres du Conseil Général ou sera pris le repas. Les adieux se dérouleront à l'Hôtellerie du Centre, au retour.

 

Philippsthal 2009 0050-4

PROGRAMME

 

Samedi 9 octobre :           arrivée et distribution des chambres.

                                               Repas du soir Hôtellerie du Centre

Dimanche 10 octobre :    Matinée libre. 12H repas mounjetado à Martres.

                                               Après-midi : concours de golf.

                                               19H : grillades salle socioculturelle.

Lundi 11 octobre :            Matinée au marché. 12H repas Hôtellerie du Centre.

                                               14H30 : rallye dans Salies. Départ Office de Tourisme.

                                               18H30 : visite du casino.

19H30 : Réception officielle au casino. Remise des prix du rallye. Repas officiel offert par la commune.

Mardi 12 octobre :            9H : départ pour le parc de la préhistoire à Tarascon. Pique-nique.

                                               20H : repas du pays chez Kiki à Saint-Martory.

Mercredi 13 octobre :      8H30 : départ pour Saint-Bertrand de Comminges et Valacabrère. Visite des sites.

                                               13H : Repas à Lès (Espagne).

                                               20H : Repas au Park Avenue.

Jeudi 14 octobre :             9H : départ pour Toulouse. 11H : visite du Conseiller Général puis repas.

                                               14H30 visite guidée de Toulouse en allemand.

                                               2OH : Repas des adieux à l’Hôtellerie du Centre.

Vendredi 15 octobre :     8H : départ pour Philippsthal.

 

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Samedi 16 octobre 2010

Philippsthal-2010 Philippsthal-2010 Photos

 

Après quelques journées de découvertes culturelles et gastronomiques et d'échanges amicaux, les allemands de Philippsthal sont repartis. Entre autres ils ont pu faire connaissance avec un phénomène extrêmement rare dans leur pays: la grève! Sujet qui a été amplement commenté par les deux communautés.

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36 ans de jumelage: forcément ce ne sont pas les mêmes personnes présentes aujourd'hui. Seuls Gutrun et Gunther Sachse, les piliers du jumelage côté allemand, encadraient les 21 Philippsthaler. Le maire Ralf Hort et son adjointe ont été reçus par la municipalité salisienne et son maire Jacques Pavan, ainsi que par le Comité de Jumelage représenté par Jacques Hennebois et l'Office de Tourisme et sa présidente Christiane Labat.

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Jacques Pavan a mis l'accent sur ce jumelage qui avait débuté par des échanges avec les jeunes à l'occasion de travail saisonnier de part et d'autre de la frontière. Il a également rappelé la traversée mutuelle de l'avant-Mur jusqu'à l'après-Mur, avec l'unification qui a permis aux villes de la communauté de communes autour de Phillipsthal situées dans la zone Est, de découvrir à leur tour le jumelage et la France.


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Au titre des nombreuses visites de ce séjour des moments forts: la découverte du Toulouse historique et les explications du fonctionnement de nos institutions au Conseil Général du département ont suscité beaucoup d'intérêt. La faïencerie martraise, la grotte du Mas d'Azil, le Parc de la Préhistoire à Tarascon, le rallye touristique dans Salies, Saint Bertrand de Comminges et ses stalles, Les et Bossost en Espagne avec une occasion d'apprécier les tapas, sangria, paella, etc... de la cuisine locale, Saint-Martory et son bistrot de pays, etc..., autant de souvenirs à ramener au-delà de la frontière.


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Les membres du comité de jumelage ont accompagné régulièrement ces découvertes et réceptions, appréciant particulièrement les traductions simultanées d'Esther de l'Office de Tourisme.


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Tag(s) : #Philippsthal
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