Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée
Salies-du-Salat. Élus et membres de la CGT se rassemblent devant la Fontaine salée

Face au manque d'un médecin dans le service de rééducation fonctionnelle, la section de la CGT à la Fontaine salée a organisé un rassemblement devant les grilles de l'hôpital, ce lundi à 14 heures. Des élus locaux ont apporté leur soutien au personnel.

« La Fontaine salée, c’est un bijou », réitère Reine Pioka, secrétaire de la CGT à l’hôpital salisien à l’occasion d’un rassemblement ce lundi. Un bijou qui est « en réel danger », poursuit la syndicaliste. En cause, il manque encore un médecin en rééducation. Plusieurs élus locaux et représentants CGT du CHU de Toulouse ont adressé leur soutien au personnel de la Fontaine salée.

Certains s’engagent à les aider dans leurs combats. « On va relayer l’offre d’emploi », renchérit François Arcangeli, le président de la communauté de communes Cagire Garonne Salat. « Ça fait plaisir de voir autant de monde derrière vous », ajoute le maire Jean-Pierre Duprat. Certains patients ont également apporté leur soutien aux syndicalistes et au personnel de l’hôpital. « Ici, c’est comme une famille », explique l’un d’entre eux, venu témoigner de sa reconnaissance aux soignants.

Pas de fermeture

Du côté des partis politiques, on note la présence de la référente commingeoise du Parti communiste français, Corinne Marquerie. Cette dernière met en place une pétition afin d’alerter les pouvoirs publics sur le manque d’un médecin en poste pérenne.
Le rassemblement de lundi vise juste à demander un fonctionnement normal pour l’hôpital. Il n’augure aucune fermeture totale de la structure.

Même si le service de rééducation fonctionnelle de la Fontaine salée est menacé du fait de la fermeture de lits, Reine Pioka le rappelle : « la Fontaine salée ne va pas fermer ».    Vincent Dulong

Salies-du-Salat. Médecin à la Fontaine salée : l’hôpital n’est pas encore guéri

ABONNÉS
  • Les affichages syndicaux deviennent quasi permanents devant les grilles de la Fontaine salée.DDM
    Les affichages syndicaux deviennent quasi permanents devant les grilles de la Fontaine salée.DDM
Publié le 
Écouter cet article
PoweredbyETX Studio
00:00/02:39

 

 

Rien de nouveau sous le soleil de Salies-du-Salat. Le service de rééducation fonctionnelle de l’hôpital manque toujours d’un médecin à temps complet. Certes, les diverses actions menées au printemps par la CGT de la Fontaine salée ont eu quelques répercussions. À commencer par l’arrivée d’un médecin à Salies. Problème : ce praticien, à l’heure actuelle, est en internat. Ainsi, il ne sera potentiellement diplômé que dans deux ans. Conséquemment, la pérennité du service de rééducation dépendra de l’obtention du précieux sésame pour l’actuel interne. Pourtant, à ce propos, la direction du CHU de Toulouse – dont dépend la Fontaine salée – a formulé une promesse d’embauche à l’interne. Malgré ces éléments, les représentants syndicaux de l’établissement ne cachent pas leur scepticisme. Surtout en ce qui concerne la fermeture des lits.

En rééducation, 15 lits sur les 50 initiaux étaient déjà fermés en mars dernier. Maintenant, on est passé à 20 lits. Le service fonctionne à seulement 60 % de ses capacités, et pour cause. Une praticienne, travaillant dans le service a présenté sa démission. Une nouvelle dont se seraient bien passés les personnels de l’hôpital, et qui arrive assez brutalement à en croire la secrétaire CGT de la Fontaine salée, Reine Pioka. "On l’a su il y a un peu plus d’une semaine", confie-t-elle.

Menace

Effective début novembre, cette démission laisse peu de temps aux Hôpitaux de Toulouse pour trouver une solution pérenne. Sauf que cet "écrémage" des effectifs menace durablement la spécialité de la Fontaine salée. "Il faut comprendre que pour que la spécialité perdure, il nous faut des effectifs", poursuit Reine Pioka. Sans quoi l’hôpital verra une réduction continue du nombre de lits et, par conséquent, une possible fermeture du pôle.

Pourtant, Reine Pioka le martèle : "le poste du docteur démissionnaire est budgété, il est pérenne". Désormais, la question est de chercher un médecin supplémentaire, en plus de la solution apportée par l’interne. Et les pouvoirs publics s’inquiètent, à l’image du maire de Salies-du-Salat, Jean-Pierre Duprat. "Où vont aller se faire soigner les gens d’ici ?", s’interroge ce dernier. Le député Joël Aviragnet est, lui aussi, intervenu dans le dossier, en prenant contact avec les membres de la CGT.

Contactée au sujet du manque d’un médecin, la direction du CHU de Toulouse n’a pas répondu à nos sollicitations. Malgré la tension pour trouver des médecins en ce moment, surtout en secteur hospitalier et à 80 kilomètres de la ville rose, les syndicalistes de la Fontaine salée ne désespèrent pas… Selon eux, "ce n’est que le début d’un long combat".

Vincent Dulong

Tag(s) : #Salies du Salat, #Santé, #Comminges, #Haute-Garonne
Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :